Raisons de la dégradation du bâtiment : "Il y a eu un choix de matériau malheureux, du cortex. Celui-ci devrait rouiller "positivement". Le promoteur a hésité à appliquer la méthode américaine : cortex et structures métalliques. Il a mélangé le béton et le cortex qui n'a pas uniquement rouillé en surface mais en profondeur. Cette rouille a donné un aspect dégradé et sinistré à la tour." Conséquences : En 1987, la plupart des entreprises ont quitté les lieux. Un procès a été engagé, le promoteur a eu gain de cause et les assurances ont refait la tour Pleyel avec des matériaux classiques. |